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I - Récemment, plusieurs meurtres ont eu lieu dans l'enceinte du mur Maria. Des témoins disent avoir entendu le son d'une flûte quelques minutes avant l'agression. Coïncidence?
II - En voilà de biens beaux poèmes qui filent dans les recueils et les journaux du mur Sina. Il se dit au détour des ruelles que le nom du poète est inconnu, mais que ses sonnets renferment plus de messages qu'ils ne veulent bien laisser le croire.
III - Il parait qu'un restaurant du mur Rose fait des repas à -50% pour les membres du bataillon... Info ou intox ? L'offre semble néanmoins limitée dans le temps...
IV - On raconte que la Garnison a mis les bouchées doubles pour nettoyer et réparer l'armement des murs des districts de Maria.
V - Il paraît que les soirs de pleine lune, dans l'une des ruelles de Trost, on peut entendre les sanglots d'une femme. Mais lorsqu'on tourne dans la rue pour la rejoindre, ils cessent et la rue est déserte.
VI - Il se dit que des bruits très suspects auraient été entendus dans une vieille maison à l'abandon, du côté de Stohess. Certaines rumeurs disent que la famille qui vivait là a été sauvagement assassinée il y a plusieurs années et qu'ils hanteraient encore les lieux ...
aled (pnj)
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Allen Leland
༄ peuple des murs
Allen Leland
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ft. : Ookurikara (Touken Ranbu)
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Mar 15 Jan - 9:06

aled

ft. pnj
Sérieux … Plus ça allait, moins ça allait. Plus le temps avançait et moins ce vieux dégénéré semblait inspiré. A croire que même le boulot de bandit, de voleur, ne rapportait plus assez. C’était désespérant. Depuis des jours, il n’était plus foutu de te proposer le moindre boulot. Rien. Absolument rien. C’était limite s’il ne t’envoyais pas faire ses courses, sérieux, c’était plus possible. Et voilà qu’il pétait son câble. Ouais, voilà qu’il te mettait cette raclée parce que tu ne t’étais pas montré disponible pour lui, que t’étais allée à Odelia pour cette connerie de festival foireux. Subitement, il avait mille idées. Plein de boulot. Ouais, tu parles. Contrat du jour ? Cambrioler une foutue boulangerie. Ah mais c’était pas le pire, hein. Nan. Le pire, c’était les ordres. « Ramène la caisse de la vieille truie, et pique lui quelques miches, ah, et puis ses brioches. » Un cauchemar.

Et t’étais obligé d’obéir. T’aurais carrément pu lui mettre un bon revers. Mais non. Rapport à ta dette tout ça. T’arrêtais pas de te dire que le cœur de ce vieux finirait par lâcher, et là, seulement, tu pourrais retrouver ta liberté en te disant que t’aurais payé, jusqu’à la fin de sa vie. Trop honnête pour un voleur, Allen.

M’enfin. T’étais de retour à Utopia. Perché sur un toit, tu observais les allers et venues de la boulangerie. T’aurais pu faire ça de nuit, mais tu doutais de trouver du pain en pleine nuit – aled. Du coup, tu prenais au moins le temps de trouver une ouverture. Ouais. Enfin. C’était sans compter sur ce chat, qui s’était approché de toi. Tu l’avais poussé, et ça n’avait pas semblé lui plaire. Il s’était mis à te cracher dessus, et quand tu l’avais envoyé balader pour la quatrième fois, au moins, il t’avais littéralement sauté au visage, et pris de court tu avais basculer, tombant du toit, roulant sur le second, pour finalement retomber lourdement au sol, non loin de la porte de la boulangerie.
Allen Leland
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Cornelia H. Orwell
Cornelia H. Orwell
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Pts : 15
Mer 16 Jan - 23:19
Utopia n’était pas vraiment sur ton chemin dans un premier temps. Mais tu n’avais pas voulu rentrer à l’imprimerie tout de suite, les événements à Odélia avaient été du pain bénit pour le journal mais, les habitants des murs restaient particulièrement choqués, notamment du côté de Chlorba. Alors tu avais voulu avoir les ressentis des différentes villes composants les murs. Tu avais été à la pèche aux informations, à droite, à gauche.
Tu avais eu plusieurs témoignages, tu avais aussi croisé certains membres des brigades spéciales auxquels tu avais tenté de soutirer quelques informations. Ça n’avait pas donné grand-chose et tu en déduis qu’ils n’en savaient pas plus. La mission était sur place et tu n’étais pas réellement sûre que les soldats soient tenus à jour régulièrement.

Tout juste arrivée à Utopia, tu avais prévu de rejoindre la grande place pour essayer de trouver des commerçants touchés, et tu te perdis au cœur des petites rues résidentielles. Tu ne retrouvas pas tout de suite ton chemin et, lorsque tu y parvins, c’était grâce à l’odeur du pain. Tu avais coupé à travers les maisons pour aller t’acheter un petit pain, ce n’est que lorsque tu approchas de la boulangerie qu’un corps tomba juste devant toi. Il était littéralement tombé du ciel et tu t’étais figée, surprise. Tu baissas les yeux sur le jeune homme avant de percuter. Un pas en arrière, un genou à terre, tu observais le brun le nez plissé.

« Tout va bien ? D’où vous sortez comme ça, vous auriez pu vous briser la nuque ! »  

0%

HRP :: Coucou chaton 8)
Cornelia H. Orwell
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Allen Leland
༄ peuple des murs
Allen Leland
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ft. : Ookurikara (Touken Ranbu)
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Sam 19 Jan - 14:09

aled

ft. pnj
Saloperie de chat, hein, Allen ? Ouais. Tu peux rager autant que tu veux, ce qui est fait est fait. Maintenant, t'es grillé, t'espère juste que la patronne va pas sortir de sa boutique pour voir ce qui vient de se passer parce que là, ce serait la cerise sur le gâteau. Tu souffles. Ta respiration semble s'être arrêtée quelques secondes sous l'effet de cette lourde chute. Heureusement que t'as l'habitude de tomber, de te ramasser, limite, la douleur n'est plus un problème. Quand tomber est aussi naturel que le fait de marcher ou respirer. Triste réalité, n'est-ce pas mon grand ? « Connard de matou. » Voilà que tu te mets à jurer, contre un chat en plus, on aura tout entendu. Tu te redresses rapidement, une main sur ta poitrine. Ton regard se pose sur la jolie rousse. Tu approches légèrement ton visage du sien, tu la détailles un instant, totalement silencieux et clairement, sans doute, un peu gênant aussi, du coup. « Allons bon. Est-ce que je suis mort ? » … Ok, la tête devait en avoir pris un coup. Tu te mets à grimacer. « C'est le paradis, et toi t'es l'ange qui vient me ramasser ? » Tu soupires. « Bah mes aïeux, j'aurais du crever avant, t'es sacrément canon. »
Allen Leland
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Cornelia H. Orwell
Cornelia H. Orwell
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Pts : 15
Dim 20 Jan - 0:10
Tu clignes des yeux. S’il peut jurer, c’est qu’il ne doit pas aller si mal, n’est-ce pas ? Tu t’apprêtes à te relever lorsqu’il s’approche de toi. Par reflexe, tu as un mouvement de recul, un sourcil haussé. Qu’est-ce que c’est que cet énergumène te passe brièvement en tête avant qu’il ne s’exprime. Sa question te surprend et tout s’enchaîne rapidement.
Finalement, un rire spontané quitte tes lèvres. Cristallin, il résonne dans la rue et quelques passants se retournent même pour voir ce qu’il se passe. Finalement, tu finis à genoux devant lui, une larme arrivant même jusqu’à coulé sur ta pommette.

« Elle marche vraiment celle-là ? Ou vous êtes tombé du ciel uniquement pour la tester ? »

Tu ne t’étais littéralement pas attendu à un truc pareil mais au moins, il avait le mérite de t’avoir fait rire. Tu essuies ta joue doucement et lève le nez au ciel, cherchant d’où il avait bien pu tomber.

« Plus sérieusement, est-ce que tout va bien ? Vous ne vous êtes pas cogné la tête ? »

Parce que bon, on n’était jamais à l’abris d’un problème après une chute de cette hauteur.

5%

HRP :: 5% parce que c'était drôle.
Cornelia H. Orwell
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Allen Leland
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Allen Leland
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ft. : Ookurikara (Touken Ranbu)
Pts : 240
Lun 21 Jan - 13:36

aled

ft. pnj
Est-ce qu’il est sérieux ? Pas le moins du monde. Enfin, si. Il la trouve vraiment jolie, ça c’est la vérité vraie. Pour le reste … c’est juste qu’Allen, c’est un sacré numéro. Il ne peut pas s’empêcher de sortir des énormités, ou de tout tourner à la dérision. Il s’est cassé la figure, oui. Mais il n’est honteux comme pourrait l’être certains. Au contraire. De toute façon, encore une fois, c’est tellement récurrent que c’est plus trop la peine d’avoir honte, il en serait déjà mort depuis longtemps autrement. Bref. Il lui sourit maintenant. Il fait un peu le malin, ok, c’est vrai. « Aah, non pas que vous ne méritiez pas qu’on prenne le risque mais … non. Disons que j’ai saisis l’occasion. » Machinalement, il jette un rapide coup d’œil à l’intérieur de la boulangerie. La vieille peau n’a pas bougé d’un pouce, bah tiens, t’aurais pu crever la tête fracassée devant sa porte que ça ne lui ferait ni chaud, ni froid à celle-là. Finalement, elle mérite bien que tu lui pique sa caisse et quelques miches de pain. « Mh, non. Enfin je crois pas. Quoi que, si mais en vrai ça va. » Ouais, même si on dirait pas. « Juste un chat qu’a pas apprécié que j’empiète sur sa parcelle de tuiles. »
Allen Leland
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Cornelia H. Orwell
Cornelia H. Orwell
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Ven 25 Jan - 21:59
Tu observes les mèches brunes qui semble se perdre un peu sous le vent. Tu n’es pas complètement rassurée par son état de santé mais, au fond, il plaisante alors, ça ne doit pas être trop grave, n’est-ce pas ?

« En même temps, quelle idée de marcher sur les plates-bandes d’un chat de gouttière… »

Tu ne sais pas si tu dois te moquer gentiment de lui ou si tu dois être affolée pour sa tête. Après tout, entre l’ange et le chat, peut-être était-il en train de divaguer après tout. Tu te notes quand même de surveiller un peu le jeune homme et, finalement, tu suis son regard et tu penches un peu la tête, amusée.

« Un petit creux ? »

Tomber comme ça devant une boulangerie, ça n’avait rien d’anodin, n’est-ce pas ?

« Allez, je vous offre un petit pain pour vous remercier de vos compliments si… originaux. »

Tu ne peux pas enlever ce sourire clairement amusé de ton visage alors que tu te redresses, lui tendant la main pour l’aider à en faire de même.

10%

HRP :: 5%  aled (pnj) 279204959  
Cornelia H. Orwell
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