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I - Récemment, plusieurs meurtres ont eu lieu dans l'enceinte du mur Maria. Des témoins disent avoir entendu le son d'une flûte quelques minutes avant l'agression. Coïncidence?
II - En voilà de biens beaux poèmes qui filent dans les recueils et les journaux du mur Sina. Il se dit au détour des ruelles que le nom du poète est inconnu, mais que ses sonnets renferment plus de messages qu'ils ne veulent bien laisser le croire.
III - Il parait qu'un restaurant du mur Rose fait des repas à -50% pour les membres du bataillon... Info ou intox ? L'offre semble néanmoins limitée dans le temps...
IV - On raconte que la Garnison a mis les bouchées doubles pour nettoyer et réparer l'armement des murs des districts de Maria.
V - Il paraît que les soirs de pleine lune, dans l'une des ruelles de Trost, on peut entendre les sanglots d'une femme. Mais lorsqu'on tourne dans la rue pour la rejoindre, ils cessent et la rue est déserte.
VI - Il se dit que des bruits très suspects auraient été entendus dans une vieille maison à l'abandon, du côté de Stohess. Certaines rumeurs disent que la famille qui vivait là a été sauvagement assassinée il y a plusieurs années et qu'ils hanteraient encore les lieux ...
(ian) le prix de la liberté. - Page 2
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(ian) le prix de la liberté.
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Ian Azelhart
༄ Hamtaro,c'est moi le plus petit des grands héros.
Ian Azelhart
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ft. : Livai Ackermann
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Mar 22 Jan - 0:59

Le prix de la liberté ★ Jillianne & Ian
(Music)


Ses lèvres viennent à toi, elles t’embrasent, comme la veille devant ce feu de cheminée. Tu fus surpris par la non-retenue dont elle faisait preuve, comparé à la veille. Tu en profitais, tu la serrais, encore et encore contre toi, tu la caresses, la chouchoute. Doucement, tes mains se glissent sous ses fesses et tu la soulèves. elle est légère, tu le savais déjà, mais tu ne te voyais pas monter les escaliers avec elle dans les bras.

Tu viens la déposer dos contre le canapé, et tu te glisses sur elle, passant une de tes propres jambes entre les siennes. Elle était bloquée ainsi, et tu pouvais autant que tu le souhaitais la câliner.

Ta bouche glisse sur sa mâchoire, et vient rejoindre son cou, où tu y déposes des millions de baisers. Ta main libre elle, caresse, de ses côtes jusqu’à sa cuisse, que tu presses un peu.

« - Je… »

Tu te relève pour la regarder, les yeux flamboyants. Tu étais à bout de souffle, mais tu voulais continuer. Tu savais que ça n’était pas bien. Tu le sentais, et même si tu avais terriblement envie d’elle à ce moment précis -et d’ailleurs ça se voyait, le mot marié résonnait encore dans ta tête.
Il fallait que tu t’y fasses. Parce que tu éprouvais tellement pour cette petite madame, et que cette petite madame ne va pas changer de statut en deux temps trois mouvement.

Sauf si tu y mets ton grain de sel.

Il te fallait simplement un peu plus de temps pour encaisser.

« - Arrêtons-nous là, pour ce soir. Inutile de brûler les étapes… Et puis, je n’ai rien pour…»


Honnête, mais pas trop. Il faut dire que tu n’avais pas franchement prévu ce qui se passait, depuis hier. Et mettre Jillianne enceinte n’était pas franchement une bonne idée.




Ian Azelhart
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Jillianne E. Kerberos
༄ peuple des murs
Jillianne E. Kerberos
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Mar 22 Jan - 17:45
ϟ ft. ian.

Tout est pratiquement identique à la veille. Tu l’embrasses, et aussitôt, les choses accélèrent. Il te sert contre lui, t’embrasses avec une passion, une envie qui ne t’échappe pas. Tu sens ses mains sur ton corps, chacune de ses caresses et puis, il te soulève, t’emmènes, il te dépose sur le canapé pour venir s’installer au-dessus de toi. Tu es prisonnière, tu ne peux pas te lever, tu ne peux pas t’échapper mais de toutes façons, tu n’en as aucune envie, bien au contraire. Tu profites de ses doigts que tu sens passer le long de tes côtes, sur ta hanche et pour finir contre ta cuisse. Tu soupires, lorsqu’il se met à embrasser ton cou. Et puis … Il s’arrête.

Tu avais fermé les yeux, et tes paupières s’ouvrent à nouveau pour croiser son regard. Tu peux y lire le désir, ce même désir qui transparaît sans doute dans tes yeux à toi. Pourtant, il s’arrête là. La veille, c’était toi qui avais mis fin à votre étreinte. Ce soir, c’est son tour. Au fond, vous étiez complémentaires pour être raisonnables et ce n’était pas plus mal … quoi que. Tu détournes le regard. Un peu honteuse, encore une fois, de lui avoir sauté dessus – encore – de cette manière, d’avoir laissé transparaître cette envie qui pour une femme mariée était loin d’être correcte. Est-ce que c’était ça le problème de son côté aussi ? Trop respectueux pour toucher une femme déjà mariée ? Un soupire de frustration s’échappe de tes lèvres. Tu ne pouvais tout de même pas lui en vouloir pour ça. « J’ai faim … » Changer de sujet, c’est ça ta méthode pour ne pas créer de malaise trop grand. Tu n’as pas spécialement envie de réagir à ça, pas envie non plus de déclencher une discussion sérieuse, pas encore, tu avais eu ta dose pour ce soir. Plus tard. Probablement. Certainement. « Et puis je suis fatiguée. » La même excuse. Mais encore une fois, elle n’était pas totalement fausse.
Jillianne E. Kerberos
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Ian Azelhart
༄ Hamtaro,c'est moi le plus petit des grands héros.
Ian Azelhart
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ft. : Livai Ackermann
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Ven 25 Jan - 15:32

Le prix de la liberté ★ Jillianne & Ian
(Music)

Elle soupire et tes doigts se crispent. Combien aurais-tu donné à ce moment-ci pour juste retourner sur ses lèvres et continuer votre danse langoureuse. Des mots passent sa bouche, alors que ses yeux sont détournés de toi, et toi, tu culpabilises, même si tu sais que c’est la meilleure des solutions…

Du moins pour l’instant.

Comme tu t’en voulais, de ne pas avoir été plus prévoyant, plus devin même ! Et c’est augmenté par ses mots. Elle se défile, change de sujet. Tu comprends, et ça te fait sourire. Ce petite sourire en coin là.

L’envie et la tentation te brûlaient le bas-ventre, mais non, ce n’était pas raisonnable, tu le savais, tu le sentais. Et ta tête prenait souvent le pas sur ton cœur.

Alors tu te relèves, t’extirpant de la chaleur de vos corps, de vos contacts si peu singuliers. Tu as froid, d’un coup. Tu tends ta main pour l’aider à se relever elle aussi, sans manquer de la regarder discrètement. Elle était si belle, étendue ainsi… Mais tu l’entraine doucement vers la cuisine, comme pour ne pas laisser une plus grande gène s’installer. Reprenons normalement.


« - Allons faire à manger. »



Ian Azelhart
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