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I - Récemment, plusieurs meurtres ont eu lieu dans l'enceinte du mur Maria. Des témoins disent avoir entendu le son d'une flûte quelques minutes avant l'agression. Coïncidence?
II - En voilà de biens beaux poèmes qui filent dans les recueils et les journaux du mur Sina. Il se dit au détour des ruelles que le nom du poète est inconnu, mais que ses sonnets renferment plus de messages qu'ils ne veulent bien laisser le croire.
III - Il parait qu'un restaurant du mur Rose fait des repas à -50% pour les membres du bataillon... Info ou intox ? L'offre semble néanmoins limitée dans le temps...
IV - On raconte que la Garnison a mis les bouchées doubles pour nettoyer et réparer l'armement des murs des districts de Maria.
V - Il paraît que les soirs de pleine lune, dans l'une des ruelles de Trost, on peut entendre les sanglots d'une femme. Mais lorsqu'on tourne dans la rue pour la rejoindre, ils cessent et la rue est déserte.
VI - Il se dit que des bruits très suspects auraient été entendus dans une vieille maison à l'abandon, du côté de Stohess. Certaines rumeurs disent que la famille qui vivait là a été sauvagement assassinée il y a plusieurs années et qu'ils hanteraient encore les lieux ...
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(ian) you should be here.
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Ian Azelhart
༄ Hamtaro,c'est moi le plus petit des grands héros.
Ian Azelhart
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Sam 2 Fév - 23:05

You should be here ★ Jillianne & Ian
(Music)


«- Euh.. Je…  »

tu devais être aussi rouge qu’elle. Elle ne te jette pas dehors, pas de coussin au visage, rien. Juste, tu entends qu’elle se retourne, et qu’elle te dit qu’il n’y avait rien que tu n’aies déjà vu…

«- C’est différent.  »

Tu avais déjà trouvé des femmes belles, et même Jillianne quand tu l’avais vu dans la baignoire mais… là… elle dépassait tout entendement.  
C’était sorti du tac au tac. La dernière fois, tu l’avais vue nue, mais… tu étais beaucoup trop inquiet pour voir les détails… et puis, tu ne la considérais pas comme maintenant…
Tu avais vu une femme nue. Maintenant tu avais vu ta future femme nue.

Tu avises à peu près où elle est, un instant, et tu détournes légèrement le regard. Pourtant tu t’avances, sans bruit, et au moment ou tu l’atteins, tu fermes les yeux. Tu glisses tes bras autour d’elle, autour de ses épaules, de ses bras. Ta tête vient elle sur son épaule, et tu la serre contre toi.

«- Tu es … magnifique. »

Tu profites quelques instants, de son odeur, de sa chaleur. Tu n’as aucune idée de pourquoi tu avais fait ça, alors que tu entrais dans son espace privé que c’était ce que tu voulais éviter. Et pourtant tu la serres contre ton torse.

Tu prends conscience de ce que tu fais, alors tu te recules sans la regarder encore.

«- Pardon. J’y vais je… dis moi quand je pourrais remonter. »

m e r d e pour dire simplement. tes envies avaient pris le dessus, sans même tu tu tentes de les réfréner. sans même que tu aies l’idée d’avoir envie de les réfréner.

Tu quittes la pièce, sans la regarder. Que t’es con. Tu t’appuie sur plan de travail, en soufflant un coup. Bordel.

Doucement tu t'actives, sans faire de bruit.



Ian Azelhart
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Jillianne E. Kerberos
༄ peuple des murs
Jillianne E. Kerberos
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Dim 3 Fév - 0:15
ϟ you should be here (ian)


Est-ce que tu l’aurais gêné avec tes remarques ? Probablement. Du moins, tu en as l’impression. C’est aussi pour cette raison que tu te retournes, d’ailleurs. Tu soupires discrètement. Tu es gênée aussi, tu rougis, mais apparaître dévêtue devant Ian ne te rebutes pas. Ça ne t’angoisse pas non plus, sans doute parce que le regard qu’il porte sur toi est finalement rassurant.

Tu n’oses pas un regard derrière toi, tu patientes, et tu ne l’entends même pas approcher, tu frissonnes lorsque tu sens ses bras s’enrouler autour de toi, lorsque tu le sens te serrer contre lui. Tu restes silencieuse tout le temps de cette étreinte, tu ne fais que sourire, timidement lorsqu’il te dit que tu es magnifique et finalement, il s’éloigne. Il se détache de toi, s’excuse même avant de finalement redescendre. Tu te tournes, ton regard se fixe sur l’escalier durant quelques longues secondes et puis, tu enfiles enfin ce long t-shirt que tu tenais toujours entre tes doigts. Sur toi, il ressemble à une espèce de robe, une robe courte et sans forme, mais tu t’en fiches totalement.

Tu approches de la barrière, te penche légèrement avant de finalement t’éloigner et d’un pas léger, tu descends l’escalier, en silence. Il est occupé, tu l’entends, et bientôt tu le vois dans la cuisine, tu ignores ce qu’il fait, il est de dos, alors lentement tu t’approches pour te coller ton contre son dos, penchant légèrement la tête sur le côté pour voir ce qu’il est en train de faire. « J’aurais pu ranger … je vais bien, vraiment. » Toujours cette douleur, mais moins intense. Ça aurait pu être bien pire, et ça tu le sais parfaitement. Tu t’estimes heureuse de tenir debout et surtout, d’avoir de nouveau tes souvenirs bien en place dans ta tête. « C’est juste pour faire ça que tu as fuis … ? » Un sourire se dessine sur tes lèvres, un sourire taquin. Tu te détaches de lui, pour venir t’appuyer contre le plan de travail en l’observant, tu penches la tête, légèrement et puis tu bouges, et tu viens attraper ses mains, comme pour l’accaparer, des mains que vient ensuite déposer sur tes hanches. Tu n’as jamais été du genre provocante, encore moins du genre à réclamer ce genre de contact, d’ailleurs, tu n’en attends pas plus que ça non plus. Tu as simplement besoin de profiter de son contact, et surtout, tu n’as pas spécialement envie qu’il fuit, ou qu’il détourne le regard quand tu ôtes un vêtement. Tu comprends cependant, tu te dis qu’il ne veut sans doute pas te brusquer, surtout après ce que tu lui as raconté de ton mariage. Cependant … « J’aime sentir ton regard sur moi … tes mains aussi. J’ai accepté de devenir ta femme, tu n’es pas … obligé de détourner les yeux, tu sais ? »
Jillianne E. Kerberos
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Ian Azelhart
༄ Hamtaro,c'est moi le plus petit des grands héros.
Ian Azelhart
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Lun 4 Fév - 14:55

You should be here ★ Jillianne & Ian
(Music)

Sans que tu ne le veuille vraiment, l'image de Jill nue repassait dans ta tête. Autant la culpabilité de vouloir trop t'accablait, autant tu voulais plus, beaucoup plus. Tu coupais des carottes en rondelles sans vraiment y songer, c'était un geste mécanique.

Tu ne l'avais pas entendu arriver, mais c'est un frisson qui passe le long de ton dos lorsqu'elle te serre  le rythme de tes mains diminue alors que celui de ton coeur s'accélère. Elle t'assure qu'elle va bien. Elle appuie même et, tu décides de la croire. Après tout, JIllianne n'est pas une enfant, et même si tu dois lui apprendre des choses, elle-même connaît ses limites, et tu ne pouvais pas connaitre son corps de l'intérieur. Tu hoches la tête comme pour lui dire que tu ne feras pas de remarques, que tu ne relèverais pas. Mais tu t'en assurerais par toi même quelques fois, discrètement. Elle ne le verrait pas.

Elle te taquine, tu l'entends à sa voix, mais en même temps, un mot résonne. " Fuir." Parce que oui, c'est ce que tu avais fait, même si toi tu ne l'avais pas vu de cet oeil là. Pur toi c'était vraiment, pour la protéger, pour la préserver encore.

C'est à regrets que tu la sens partir, et tu jettes un oeil dans sa direction. Elle n'allait pas bien loin, juste contre le plan de travail à côté.

Au fond, tu étais un peu perdu toi même. Tout allait  si vite, tout était en même temps. Jillianne, ta grand-mère, Odélia, Karanes, un éclair jaune, des morts, une chevauchée, des souvenirs, une demande en mariage....Tu ne te reconnaissais pas, tu avais l'impression que cette femme, ta future femme, remettait ton entièreté en question. Ce que tu ressentais, les sentiments que tu pouvais bloquer, ceux que tu laissais aller... Tu n'étais au fond même pas sûr que le mot aimer était un mot assez fort pour exprimer ce que tu ressens vis-à-vis de Jillianne.

Tu coupes encore une autre carotte, quand Jillianne te sort de tes pensées. Elle prend tes mains, et tu sens sa peau douce. Instantanément tu lâches le couteau, et tu la laisses guider tes doigts vers ses hanches.

Tu es partagé, entre surprise et convoitise. Tu plonges ton regard dans le sien, sans trop bougé d'abord. Mais à mesure qu'elle parle, tes pouces la caressent délicatement.

Oui, tu savais que tu n'étais pas obligé de détourner les yeux. Mais c'était une marque de respect, en quelque sorte. Tu lui réponds en un sourire, terriblement doux. Tu n'allais plus détourner les yeux, à partir de maintenant.

Doucement, ta main droite monte jusqu'à sa tête. Tu caresses sa tempe, sa mâchoire, ses lèvres. Tu descends dans son cou, sur ses épaules au travers du tissu. Ton regard suit la courbe que tu dessines. Et sans le vouloir, tu te mordilles une lèvres.

Cette main passe dans son dos, touche sa hanche, effleure ses fesses alors que doucement, tu étais venu te coller à elle, sans un mot. C'était des gestes lents, langoureux. Tu voulais profiter autant que tu voulais voir quelles limites elle pouvait d'imposer. Mais ses mots avaient été clairs.

Tu laisses cette pulsion t'embraser, d'un coup. Tes lèvres viennent chercher les siennes, tes mains pressent un peu plus fort. Tu la serres contre toi, tu touches toutes les parties de sa peau qui sont à ta portée. Ton souffle est court, rapide.

Tu ne romps le baiser qu'un court instant, le temps de dégager d'une coup de main tout ce qu'il y avait sur le plan de travail  derrière Jillianne. Tes mains passent sous ses fesses, tu la soulèves pour la poser sur le bord du meuble. Tu te glisses entre ses cuisses, et ta bouche explore son cou, sa clavicule....

Seuls eux savent ce qu'il s'est produit ensuite. Mais ce que je peux vous dire, c'est qu'ils fêtèrent la vie à coup d'étreintes et de baiser chaud...

-FIN-




Ian Azelhart
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